À titre de membre du personnel scientifique et de directrice des activités de sensibilisation à la conservation à Polar Bears International, Alysa McCall participe à des recherches en Arctique, essentiellement dans le cadre de projets collaboratifs canadiens.
Durant son enfance, elle était fascinée par les animaux sauvages qu’elle voyait souvent traverser la cour de la maison familiale, en Colombie-Britannique. Pendant ses études au baccalauréat ès sciences, elle a travaillé dans un parc faunique, où elle baguait des oiseaux, attrapait des insectes, posait des colliers émetteurs à des souris et attachait des dispositifs de localisation sur le dos de crapauds. Pour sa recherche dans le cadre de sa maîtrise à l’Université de l’Alberta, elle devait se rendre en avion sur de lointaines banquises pour installer des colliers GPS sur des ours polaires, afin d’étudier leur utilisation de leur habitat en constant changement.
Elle vit aujourd’hui à Whitehorse (Yukon), loin des ours polaires.
Expérience à vivre : Churchill (Manitoba) est surnommée la capitale mondiale de l’ours polaire. Comme il n’est pas rare que ce grand mammifère s’aventure en ville, l’administration municipale a pris des mesures pour protéger à la fois les humains et les ours. Elle a notamment déplacé sa décharge à l’intérieur et installé des bacs à ordures à l’épreuve des ours. Pour observer les ours polaires dans leur habitat naturel sans les déranger et en toute sécurité, faites appel à un voyagiste réputé comme Churchill Wild.
À titre de membre du personnel scientifique et de directrice des activités de sensibilisation à la conservation à Polar Bears International, Alysa McCall participe à des recherches en Arctique, essentiellement dans le cadre de projets collaboratifs canadiens.
Durant son enfance, elle était fascinée par les animaux sauvages qu’elle voyait souvent traverser la cour de la maison familiale, en Colombie-Britannique. Pendant ses études au baccalauréat ès sciences, elle a travaillé dans un parc faunique, où elle baguait des oiseaux, attrapait des insectes, posait des colliers émetteurs à des souris et attachait des dispositifs de localisation sur le dos de crapauds. Pour sa recherche dans le cadre de sa maîtrise à l’Université de l’Alberta, elle devait se rendre en avion sur de lointaines banquises pour installer des colliers GPS sur des ours polaires, afin d’étudier leur utilisation de leur habitat en constant changement.
Elle vit aujourd’hui à Whitehorse (Yukon), loin des ours polaires.
Expérience à vivre : Churchill (Manitoba) est surnommée la capitale mondiale de l’ours polaire. Comme il n’est pas rare que ce grand mammifère s’aventure en ville, l’administration municipale a pris des mesures pour protéger à la fois les humains et les ours. Elle a notamment déplacé sa décharge à l’intérieur et installé des bacs à ordures à l’épreuve des ours. Pour observer les ours polaires dans leur habitat naturel sans les déranger et en toute sécurité, faites appel à un voyagiste réputé comme Churchill Wild.
« Nous luttons contre le changement climatique à long terme, tout en essayant de maintenir le plus grand nombre possible d’ours polaires à l’état sauvage à court terme. »
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